Fearon, le mauvais citoyen

dimanche 14 septembre 2008

#9

Voici quelques recherches pour Dans la crasse :


mardi 9 septembre 2008

#4

Voici la première page de Dans la crasse ( ce n’est pas véritablement la première page, elle est précédée du texte d’introduction du film Blade Runner :

Early in the 21st Century, THE TYRELL
CORPORATION advanced Robot evolution
into the NEXUS phase – a being virtually
identical to a human – known as a Replicant.
The NEXUS 6 Replicants were superior
in strength and agility, and at least equal
in intelligence, to the genetic engineers
who created them.
Replicants were used Off-world as
Slave labor, in the hazardous exploration and
Colonization of other planets.
After a bloody mutiny by a NEXUS 6
combat team in an Off-world colony,
Replicants were declared illegal
on earth – under penalty of death.
Special police squads – BLADE RUNNER
UNITS – had orders to shoot to kill, upon
detection, any trespassing Replicant.

This was not called execution.
It was called retirement.
).


dimanche 7 septembre 2008

#2

J’ai dépassé les 100 pages de Dans la crasse. Dans la crasse qui est roman que je tente d’écrire depuis déjà quelques temps.

A la base je voyais plutôt ça comme un film, mais le désir de concrétisé l’idée m’a poussé vers l’écriture. Ecriture commencée il y a un peu plus d’un an, qui s’est arrêtée vers 50 pages. A l’époque l’intrigue était centrée sur Jean-Baptiste Ernest Poilcourt, type violent à lunettes aux verres blancs opaques errant dans un Paris futuriste, vide et gris ( inspiré de Blade Runner ). Du sexe, de la violence, de la folie.

Quelques temps après, l’idée d’une histoire alternant textes et images oniriques ( principalement érotiques ) avec un personnage principal répondant au doux nom de Klaus germa. L’intention de départ était d’avoir un enfoncement progressif dans une demi conscience où rêve et réalité n’étaient plus distingué.

Finalement, ces deux projets s’essoufflant, ils ont fusionné. Le titre Dans la crasse est resté, mais Klaus est maintenant un type obsédé, habité par l’univers de Blade Runner. Et Jean-Baptiste Ernest Poilcourt n’est plus qu’un personnage secondaire.

Et cette histoire en est à 101 pages.